Catégories : LGBT Travesti Gay Lesbienne Trans Sissy Lesbiennes bondage SM entre filles calins fist kiss
il y a 6 ans
La jeune éducatrice stagiaire humiliée
Je m’appelle Anne, j’ai 19 ans et je suis élève éducatrice. Comme toutes mes camarades de promotion, j’ai été obligée de me trouver un lieu de stage pratique pour 6 mois. Après moult recherches infructueuses, j’ai finalement déniché un établissement de placement pour jeunes filles dites « a problèmes », sans que me soit précisé exactement la nature de ces problèmes.
Donc me voici devant un bâtiment sévère, aux murs gris et aux fenêtres étroites, encerclant une cours de bitume noir. Ce n’est pas folichon, mais pour effectuer un stage de 6 mois, je ne ferais pas la difficile, d’autant que j’ai trouvé celui ci en dernier recours. C’est un établissement privé, et une chapelle près de l’entrée donne le ton, ainsi qu’un immense calvaire en face de l’internat. Je ne suis plus pratiquante, mais bon, pour 6 mois je pourrais toujours donner le change…
Je suis reçu par le directeur, un homme d’une cinquantaine d’années, grand, droit comme un I, l’air aussi austère que son établissement. L’accueil est franchement glacial. Il me parle règlement, discipline, punition…Et pour finir m’invite fermement à changer de tenue :
« Ici Mademoiselle, on s’habille correctement. Je veux vous voir en uniforme et bien coiffée dès cet après midi. »
C’est vrai qu’en jean moulant et tee short au-dessus du nombril, avec mes cheveux jouant sur mes épaules, je ne suis pas au diapason des lieux. Une jeune femme, sans doute une intendante, aussi sévère que le patron, me conduit vers ma chambre. Chambre est un bien grand mot pour désigner la cellule monastique de quelques mètres carrés qui m’attend. Pour tout mobilier, un lit en fer, une table une chaise et une petite armoire à deux portes.
« Douche et toilette sont sur le palier » m’indique aimablement mon guide, qui me précisa se prénommer Sophie, avant de disparaître. Je me mets en demeure de déballer mes affaires et de les ranger dans l’unique placard. Puis il faut me changer.. La tenue d’uniforme des éducatrices est sur le lit : une jupe plissée assez courte et un chemisier blanc dont je laisse le col entrouvert… N’est ce pas trop osé pour les lieux ? Ainsi vêtue, j’ai rajeunie de cinq ans et j’ai l’air d’une lycéenne .
On ouvre ma porte sans frapper. C’est la jeune femme de tout à l’heure. Elle m’examine en silence. Elle est elle même vêtue de la même tenue que moi. Une croix d’argent orne son col entr’ouvert., et je devine sa poitrine saillante sous l’étoffe du chemisier. Elle serait plutôt jolie si elle savait sourire…
« Mademoiselle, il est vendredi, vous pourrez vous confesser à partir de 17 h à la chapelle »
« Me confesser ?…mais je…enfin c’est à dire que…. »
« Ici la confession est obligatoire tous les vendredi » Le ton est sans réplique, et elle se retire. Ma dernière confession remonte à ma première communion, il a …7 ans ! Je n’aimais pas beaucoup cet exercice. Ici, évidemment je n’ai guère le choix si je veux faire mon stage comme prévu. Bon, et bien j’irai me confesser !
17 h. Me voici dans la chapelle sombre mais le soleil à travers les vitraux projette une lumière multicolore sur le dallage de granit, c’est beau. Je reconnais le directeur, et plusieurs jeunes filles, des pensionnaires sans doute, agenouillés sur des prie dieu. Je fais de même et j’attends mon tour. Que vais bien pouvoir raconter ? Chaque personne reste assez longtemps dans le confessionnal, et je me sens intimidée. Enfin c’est mon tour.
Ma confession a été plus longue que celle des autres. J’ai décidé, sans savoir pourquoi, de jouer le jeu, et d’avouer tous mes écarts depuis sept ans…En fait essentiellement les tentations disons « charnelles ». Et encore, heureusement que je suis vierge, mais j’ai cédé plus d’une fois aux caresses et aux baisers enfiévrés de Claire, ma meilleure amie. Et, depuis quelque temps, je me masturbe souvent. Je reste sage, mais je suis tourmentée par l’envie de faire l’amour comme les filles de mon age. Je n’ai pas de copain, et je fantasme un max. sur les beaux garçons de la télé ou du cinéma. Tout cela n’est pas très joli joli. Je reçu quand même l’absolution, et pour pénitence, je dois me présenter demain à 7 h chez le directeur. Cela n’indique rien de bon, et je n’ai pas osé me masturber cette nuit-là et dormi assez mal .
7 h. Après une douche matinale qui m’a laissée les cheveux encore mouillé je suis dans ma tenue la plus sobre, devant la porte du directeur. Il arrive, me fait rentrer en silence. Je reste debout devant son bureau, mains derrière le dos et yeux baissé, aussi humble que possible. J’ai cependant conscience que ma jupe est trop courte, et que mon soutien-gorge se devine sous mon chemisier à demi transparent.
« J’ai eu le rapport de votre confession. Ce n’est pas brillant. Si j’avais su je ne vous aurais pas accepté comme stagiaire. Vous êtes une dévergondée, un danger pour nos jeunes et pour le reste du personnel. Comment peut on être aussi lubrique ? Vous avez vraiment fait l’amour avec votre meilleure amie ? »
« Mais…mais je croyais que la confession…enfin…le secret de….je… »
« Répondez à ma question mademoiselle, avez vous fait l’amour avec votre amie ? »
« Je…oui…monsieur le directeur »
« Vous aviez quel âge ? »
« Je…j’avais 17 ans je crois… »
Il me demanda ensuite de lui décrire en détail les caresses que je me suis donnée, de quelle façon je me masturbe, comment je me fait jouir. J’étais sur les charbons ardents.
« A quelle fréquence ? »
« Je…je…ça dépend….quand j’en peux plus… »
« La dernière fois remonta à quand ? »
« …je…la…la semaine dernière… »
« Et vous avez eu un orgasme ? »
« ….ou…oui…. »
Le pire, c’est que les mots crus de cet interrogatoire commençait a me faire de l’effet. Je sentais une chaleur sournoise m’envahir le ventre. Aussi incroyable que ça me paraisse, l’humiliation que j’étais en train de subir m’excitait.
« Et bien mademoiselle je vais être obliger de vous soumettre à un régime particulier. Vous en convenez ? »
« Je…..oui monsieur le directeur…. »
« Et bien à partir de maintenant vous serez sous l’autorité de Sophie. Vous devrez être totalement soumise à ses ordres. Elle se chargera de vous éduquer et de vous discipliner. Vous devrez lui obéir strictement. Elle a toute licence pour vous punir ou vous faire punir. Par ailleurs, je veux vous voir tous les matins à 7 h à la chapelle commencer votre journée par une confession. Ainsi, j’espère que vous reprendrez le droit chemin. »
J’étais abasourdie. Mais je n’avais encore rien vu.
« Couchez-vous sur ce fauteuil et soulevez votre jupe mademoiselle »
Je restais interdite, mais une gifle me ramena à la réalité. Je m’exécutais. D’un geste brusque le directeur abaissa ma petite culotte. Puis saisissant une badine flexible il entreprit de me flageller v i o l emment. Je me mordais les lèvres pour ne pas crier, et résister a la vingtaine de coups bien appliqués, mais j’avais les joues inondées de larmes…
« Donnez moi votre petite culotte, mademoiselle, et restez à genoux face à mon bureau. J’ai du travail, et vous etes punie jusqu’à midi. »
Il avait du travail , mais aussi des visites…Et jusqu’à midi, une demi douzaine de personnes, dont de jeunes pensionnaires, sont venu dans le bureau, et on pu me voir, agenouillée, immobile, les yeux baissés, honteuse et humiliée. Elles ne pouvaient ignorer que j’étais nue sous ma jupe, car le directeur avait posé ma culotte bien en évidence à côté de moi…
A midi la cloche me délivra, et je me relevais en titubant, les genoux endoloris.
Sophie me prit tout de suite sous sa coupe et m’entraîna au réfectoire, ou une vingtaine d’a d o l e s c e n t es, les pensionnaires, étaient déjà attablées. Sophie me poussa à ma place : devant moi, un morceau de pain sec et un verre d’eau. Je fus étonnée de devoir absorber deux gélules mais je n’osais pas poser de questions.
« Vous êtes punie, c’est votre régime pour le week-end. Quand vous aurez fini, vous débarrasserez les tables et ferez la vaisselle. Cet après midi vous passerez la serpillière dans le réfectoire et les couloirs. » Et elle se retira sans que j’ai eu le temps de dire un mot…
Quel après midi j’ai passé là ! On ne m’a fourni que des instruments de nettoyage rudimentaires, antiques et sous dimensionnés. J’ai du laver par terre, a quatre pattes, avec une demi serpillière…des km de couloirs ! faire une énorme vaisselle à la main, sans rien pour récurer autre que mes ongles…Et toujours, Sophie exigeait davantage :
« Plus vite…..pas assez propre…..recommencez ! »
Bizarrement, je sentais de sourdes envies monter en moi. Ce n’était évidemment ni le lieu ni le moment de me caresser, mais je commençais à en avoir très envie. J’en ignorai la cause, hormis que mon corps semblait devenir de plus en plus sensible…
Au repas du soir j’étais épuisée, et toujours au régime pain dure et verre d’eau, avec encore ces mystérieuses gélules. Timidement, j’osais en demander le raison à Sophie. Elle me rappela que je devais me taire à table, et je bu mon verre sans mot dire.
Sophie me raccompagna dans ma chambre, et là ce fut le comble de cette journée terrible.
« Déshabillez vous » fit Sophie
Je m’exécutais en silence, définitivement résignée.
« Vos vêtements sont bien sales maintenant. Vous les laverez demain, mais en attendant vous allez rester nue »
« Mais mademoiselle, j’ai une chemise de nuit… »
Pour toute réponse je reçue encore une gifle.
En essuyant discrètement mes larmes, je me dévêtis et attendis. Elle me fit rester debout pendant qu’elle inspectait mon petit placard. Elle sortait un a un tous mes vêtements et les éparpillait à travers la pièce, mettant à part mes sous vêtements.
« Je vous les confisque. Une gamine comme vous, n’a nul besoin de ces atours de femme. Vous êtes bien d’accord ? »
« ….je…oui….. mademoiselle »
« Et vous me ferez le plaisir de ranger votre placard correctement. Tout de suite. »
Je m’exécutais. Quand j’eus fini, elle jeta une nouvelle fois tous mes vêtements sur le sol. Et cela se reproduisit encore trois fois…J’étais révoltée par cette brimade inutile, lasse de cette journée de corvées, mais, sans que je n’y puisse rien, je sentais mon sexe entr’ouvert, et avait toujours cette envie de caresses qui me taraudait.
Alors que je pensais en avoir fini, et que Sophie me laisserait enfin en paix pour aujourd’hui, elle me donna un nouvel ordre :
« Mettez vos mains sur la nuque, mademoiselle, tenez vous bien cambrée et écartez les jambes…plus que ça….encore…voilà, c’est bien. Ne bougez plus. »
Cette position m’offrait, totalement indécente aux regards de la jeune femme qui tournait autour de moi, détaillant chaque partie de mon corps.
« Votre sexe est humide » remarqua t elle. « Je vois que vous avez de mauvaises pensées, n’est ce pas ? »
Que répondre ? sinon que j’avais effectivement envie d’être caressée. Mais je n’osais pas, et je baissais les yeux, rouge de honte.
« Remarquez, poursuivit-elle, cela est normal. Vous avez pris aujourd’hui quatre gélules d’aphrodisiaque. Plus qu’il n’en faut pour une jeune fille raisonnable. Deux sont déjà beaucoup. Demain vous en aurez six. Mais en attendant, je vous autorise à vous caresser quelques minutes…allez y »
Alors c’était donc ça, cette envie qui m’avait tourmentée tout l’après midi…ces mystérieuses gélules…Et voilà que maintenant, j’étais encouragée…Je ne savais plus ou j’en étais…n’allait t elle pas encore me punir ?
« Alors ça vient ces caresses ? je veux vous entendre gémir, mademoiselle, vite. Baissez votre main droite et allez y »
Je m’exécutais…Après quelques attouchements seulement, je m’ouvris comme une fleur, et ma mouille chaude coulait sur le haut de mes cuisses… je ne fus pas longue à gémir, mon clitoris s’offrait, raide sous mes doigts, c’était bon, j’avais tellement attendu ce moment.
« Arrêtez maintenant, mademoiselle. Avez vous déjà oubliée votre confession, vous devez rester pure pour l’office de demain ? »
Mais je ne parvenais pas à m’arrêter, et je sentais la plaisir qui montait….qui allait venir…
« Mademoiselle ! » cria t elle, et elle me saisi le poignet pour l’éloigner de mon ventre en feu.
Me laissant frustrée, tremblante de désir…
« Voyez dans quel état vous vous mettez, vous n’êtes pas capable de résister à la tentation. Monsieur le directeur en sera informé dès demain. En attendant donnez moi vos bras. Non pas devant. Derrière le dos. Comme ça. »
Et avant que je ne comprenne ce qui m’arrivait, je sentis une paire de menottes se refermer sur mes poignets. J’étais désormais prisonnière, les mains liées derrière le dos, avec toujours ce désir qui me brûlait le ventre.
Sophie devint alors plus douce, presque tendre. Elle m’aida à me glisser dans les draps, et borda ma couverture. Ses mains s’attardèrent sur mon corps allongé sans défense, et exercèrent, à travers le drap, une pression insistante à l’endroit de mon sexe, au point de m’arracher un gémissement. Mais bien vite elle se retira, et me souhaita le bonsoir, en m’offrant son premier sourire.
Ma nuit fut loin d’être paisible. Je mis un temps fou à m’endormir, j’étais trop excitée, et dans l’impossibilité ou j’étais de m’apaiser, le sommeil tarda à venir. Je me tortillais dans les draps, essayant vainement de frotter ma vulve enfiévrée, mais sans parvenir à autre chose qu’a m’énerver encore davantage… Les menottes, c’est vraiment efficace pour rester chaste !
Lendemain dimanche, pas de grâce matinée pour la pauvre stagiaire punie que je suis. Réveil à 7 h . Sophie, déjà prête m’entraîne sous la douche, sans me retirer les menottes « par prudence… » précise t elle.
L’eau tiède me réveille tout a fait, mais comme je n’ai pas l’usage de mes mains, c’est Sophie qui me savonne consciencieusement, insistant un peu trop sur mes seins et mon pubis, ravivant, s’il en était besoin, le désir qui ne ma pas quitté de la nuit.
« Et vous n’avez rien à vous mettre pour aller à la messe tout à l’heure… » fit elle songeuse.
« Mais si, mademoiselle, il me reste des vêtements… »
« Oui, des tenues toutes plus indécentes les unes que les autres. Mais venez, je crois avoir ce qu’il vous faut… »
Elle m’entraîna, toujours nue et menottées, dans sa chambre. Elle fouilla dans un tiroir, pour en sortir finalement une robe blanche. Bon, me dis je, ainsi je serais convenable. Sophie me retira les menottes, et je me mis en demeure d’enfiler la robe, à même la peau. Evidement sans sous vêtements, puisque ceux ci m’avaient été confisqué. Horreur ! Mais…mais oui, c’est une robe moulante, à demi transparente, fendue sur un coté…ce n’est pas possible de porter ça, pas ici !
« Mademoiselle, vous ne croyez vous pas que…enfin cette robe…est un peu trop transparente…je veux dire…et étroite… ? »
Le tissu, effectivement très léger, collait sur ma peau, révélant aux regards ma poitrine et la pointe tendue de mes seins excités.
J’étais plus que gênée par l’image que me renvoyait son armoire à glace. Sophie m’avait prêtée en fait, une robe très provocante, rien a voir avec la tenue sage qui était exigée ici. Elle semblait très amusée de mon embarras.
« Mais si Anne, cela vous va très bien. Tenez vous bien droite. Marchez ! Baissez vous ! levez les bras ! C’est parfait. » conclut elle. « Et maintenant dépêchez vous, la messe est dans une demi heure, et vous devez de nouveau vous confesser »
Je me retrouvai donc une nouvelle fois dans l’obscurité du confessionnal pour avouer les désirs troubles et les caresses que j’avais tentée de me donner la veille. Je fus sévèrement réprimandé par l’aumônier, qui m’infligea comme pénitence, d’assister à la messe à genoux, bras en croix, du début à la fin.
De nouveaux sous l’influence de l’aphrodisiaque que Sophie m’a fait prendre au lever, j’ai assistée à l’office le corps en feu…Le pire à été la communion, quand il m’a fallut remonter l’allée centrale à genoux, dans cette robe à la limite de l’indécence, sous les regards de tout le pensionnat, et sous celui particulièrement inflexible du directeur. Après une heure et demi, mes genoux était dans un triste état. J’étais constamment tendue, et malgré mes efforts, nul ne put ignorer, quand je me relevais pour communier, que j’étais nue sous cette robe qui me serrait trop. Quelle honte !
A midi, c’est à quatre pattes sur le carrelage du réfectoire que j’ai du manger mon quignon de pain dur et bu mon verre d’eau, avec toujours bien sur les deux gélules. J’étais la cible des quolibets et moqueries des collégiennes, et du regard méprisant des autres éducatrices. Puis Sophie m’entraîna dans ma chambre, ou je dus attendre sous sa surveillance la visite du directeur.
« J’ai appris vos frasques, mademoiselle, dit il en arrivant. Nous allons donc user avec vous de la plus extrême sévérité, n’est ce pas Sophie ? »
« Oui monsieur le directeur, je n’ai encore jamais vu une vicieuse pareille » renchéris la jeune femme.
Je tentais de m’expliquer à mi voix, les yeux baissés.
« Monsieur le directeur…vous savez…avec les gélules que je prends…six par jour…je me sens constamment excitée…c’est dur alors d’être vraiment sage tout le temps…j’ai beau essayer…il faudrait diminuer mes doses…peut être les arrêter…je vous promets de mieux me tenir… »
« Vous êtes lamentable ma pauvre petite. Vous n’avez aucune volonté. Et bien puisqu’il en est ainsi, nous allons employer les grands moyens, n’est-ce pas Sophie ? »
« Oui, monsieur le directeur, c’est nécessaire »
« Donc demain à 7 h 30, vous emmènerez cette jeune débauchée à l’infirmerie. Vous veillerez à ce que la pause soit parfaite. Nous serons plus tranquille »
« Oui, monsieur le directeur, comptez sur moi. »
Il tourna les talons sans même m’accorder un regard.
J’étais intriguée par les derniers propos du directeur. Qu’avait il voulu dire par « que la pause soit parfaite » ? J’aurais voulu poser la question à Sophie, mais elle ne m’en laissa pas le temps.
« Anne, je vais être obligée de vous ligoter, pour cet après midi »
« Me ligoter…mais… »
« Oui, je vais aller au cinéma avec mes amies, et vous savez bien qu’on ne peut pas avoir confiance en vous. Passez moi les s a n g les qui sont dans le tiroir, là en bas…merci »
J’avais maintenant pris l’habitude de lui obéir passivement, et lui tendit les s a n g les demandée, en nylon noir d’un cm de large, du genre de celles qu’on utilise pour fermer les sac à dos.
Aussitôt, Sophie entreprit de m’immobiliser, d’abord les bras ramenés derrière le dos, puis en passant entre les seins, puis en dessus et en dessous pour les comprimer en les rendant durs, volumineux, et encore plus sensibles. Elle poursuivit ensuite en étranglant plusieurs fois ma taille très fortement et en passant une s a n g le entre mes cuisses, comprimant le ventre et surtout le sexe qui se trouvait ainsi écrasé…Et pour finir, elle écarta mes cuisses, me liant les chevilles aux pieds du lit. J’étais à genoux, totalement immobilisée, dans l’incapacité absolue d’esquisser le moindre mouvement. Sophie ne m’avait pas enlevée ma robe, se contentant de m’attacher par dessus. Ainsi, m’avait elle dit, les liens ne sont pas au contact de la peau ce qui permet de serrer plus fort sans risque de blessure. Toutefois, elle souhaitait que mes seins soient exposés, et elle ouvrit le décolleté pour les faire apparaître. Elle se recula pour juger de son travail.
« Parfait, dit elle, maintenant je vais appeler mes amies, pour avoir leur avis. Vous ne vous étonnerez pas, Anne, si elles vous caressent. Vous êtes très désirable ainsi. »
J’étais surtout brûlante d’excitation . Cette séance de « bondage » (j’ignorais ce terme, mais Sophie me l’expliqua) agrémenté d’attouchements aux endroits sensibles, m’avait tellement stimulée que j’en étais presque rendue folle. Et maintenant, voici que l’on me promettait de nouvelles caresses…
« Mademoiselle, suppliai je, pourquoi suis ainsi tourmentée ? Je suis simplement venue faire un stage, indispensable pour mon diplôme, et je suis traitée pire qu’une pensionnaire ? Qu’ai je fait pour mériter ça ? »
Sophie me dévisagea en silence. Depuis que j’étais à sa merci, elle était devenue plus douce, presque gentille. Elle m’appelait par mon prénom, et j’étais sensible à cet égard. Je sentais qu’elle allait me répondre quand la porte s’ouvrit, et ses deux copines entrèrent. C’était deux jeunes femmes du même âge que Sophie, très jolies. Je les avais remarqué suivant assidûment la messe ce matin. Mais elles avaient changé de tenue. Elle portaient des mini robes, et l’une, qui s’appelait Marie, avait même les épaules nues. Après m’avoir contemplé, elles félicitèrent Sophie.
« Tu l’as bien réussie » fit Marie
« On a vraiment envie de la t o r t u r e r » ajouta la seconde, qui s’appelait Carole. Et joignant le geste à la parole, elle commença à me pincer le bout des seins. Je résistais vaillamment quelques instants, mais elle augmenta sa torsion, et je la suppliai d’arrêter .
« Tais toi sale gamine, c’est Sophie qui décide » fit elle rudement. Du regard j’implorai Sophie. Elle prit son temps avant de demander gentiment à Carole de me laisser tranquille.
« Tu lui as expliqué ? demanda Marie
« J’allai le faire quand vous etes arrivé, répondit Sophie. »
« Bon, fit elle en me regardant, écoute bien, je ne répèterais pas deux fois. »
Ce que j’appris alors me sidéra. Je n’étais pas venue là par hasard, mais orientée par ma monitrice de stage, qui n’était autre…que la maîtresse du directeur de ce pensionnat. Le pensionnat lui même est un lieu très spécial. Il accueille uniquement des a d o l e s c e n t es victimes d’une déviation appelée nymphomanie, un dérèglement qui les rend hyper sensuelles, prête à tout pour satisfaire leur libido hors norme. Pour tenter de les mater, on leur impose une discipline de fer, mais comme si cela ne suffisait pas, on les excite constamment avec les aphrodisiaques. Dès mon arrivée, le directeur a été séduit par ma personnalité, apparemment libérée mais finalement très obéissante. Il a décidé de faire de moi un jouet sexuel pour son usage et celui de sa maîtresse. Pour cela il veut me rendre pire que les pensionnaires. C’est pour cela que j’ai un régime renf o r c é et six gélules quotidiennes au lieu de la dose normale d’une….
« Mais…mon stage…comment vais je pouvoir.. ?.. »
« Pauvre idiote ! poursuivit Sophie, laissez tomber votre stage. Si vous restez ici, si vous obéissez à tout ce qui vous sera ordonné, que vous subissez tous les tourments qui vous attendent, que vous vous abandonnez à tous les coupables plaisirs qui vous seront imposés, votre stage sera validé sans problème ! »
« ….les tourments…quels tourments ?…quels coupables plaisirs ?…. » fis je de plus en plus inquiète.
« On lui dit ? » fit Carole
« On peut, ça lui mettra la pression » fit Marie
« Par exemple le cachot » dit Sophie
« Et le carcan…. » ajouta Carole
« La croix… »
« Les bondages… »
« Le fouet… »
« les corvées… »
« les pinces… »
« Les piqûres, les orties… »
« Les crèmes irritantes, les plugs, les corsets… »
« Et pire que tout, conclu Sophie : la chasteté absolue pendant six mois… »
« Interdit de jouir, renchérit Marie »
« Orgasme défendu » fit Carole, sadique
« Malgré les tentations continues…Allez, on vous laisse, Anne, soyez sage et à ce soir »
Et Sophie entraîna ses camarades et me laissa seule, non sans avoir posé sa bouche sur mes lèvres brûlantes, que j’entrouvris sans résistance. Elle glissa sa langue fraîche contre la mienne, mais sentant mon émoi, se retira rapidement, me laissant pantelante, captive impuissante avec mes troubles pensées.
Cet après midi fut interminable. J’étais dans un état second. Les liens m’interdisaient le moindre mouvement, et je remuais sans cesse dans ma tête les propos des trois éducatrices. Où étais je tombée ? Quelle faute avais je commise ? et pourrais rester chaste six mois comme on m’en a menacée ? Depuis l’ âge de treize ans j’avais l’habitude de me caresser régulièrement, et de plus en plus fréquemment ces derniers temps. Je ne l’avais pas fait depuis huit jours et ça commençait à vraiment me manquer. Alors six mois…surtout avec le régime aphrodisiaque et les tentations permanents qu’on me promettait.
Au fil des heures, ma vessie se faisait sentir, ajoutant à mon trouble. À midi Sophie m’avait fait boire au moins un litre et demi, et maintenant mon envie devenait urgente. Mais me fallu encore attendre plus d’une heure. Quand Sophie revint, je lui demandais humblement l’autorisation d’aller au toilette. Pour toute réponse, elle me sourie en caressant ma joue.
« Dommage, fit elle, je n’ai pas le temps de m’occuper de toi, tu vas devoir attendre. Et je du rester encore une heure ligotée. Mais l’envie devint incontrôlable, et, à ma grande honte, je fis sous moi. À son retour, Sophie furieuse, me gifla à plusieurs reprises avant de me détacher et de me faire nettoyer, à genoux, toute ma chambre à trois reprises.
Après le repas du soir, humiliant comme les autres, je me retrouvais dans ma chambre, m’attendant à être de nouveau menottées comme la veille. Mais ce fut pire. Sophie me fis allonger nue sur le lit, et me lia poignets et chevilles aux quatre montants du lit. Elle glissa un traversin sous mes reins pour accentuer ma cambrure, et entrepris de me lécher lentement le sexe. J’étais au supplice, haletante, la suppliant alternativement d’arrêter, et de continuer…
Quand elle me sentait à bout, elle s’arrêtait, et recommençait aussitôt qua j’avais repris mon souffle. Ce petit jeu dura presque trois quarts d’heure, puis, elle m’embrassa longuement sur la bouche en guise de bonsoir…
J’eu encore plus de mal que la veille à m’endormir cette nuit-là…
Cette ressource n'a pas encore été commentée. |
Ce site Internet est réservé à un public majeur et averti et est conforme à toutes les règlementations françaises en vigueur. Il contient des textes, des liens et des photos classées X qui peuvent être choquantes pour certaines sensibilités.
Je certifie sur l’honneur :
- être majeur selon la loi en vigueur dans mon pays.
- que les lois de mon état ou mon pays m'autorisent à accéder à ce site et que ce site a le droit de me transmettre de telles données.
- être informé du caractère pornographique du serveur auquel j'accède.
- je déclare n'être choqué par aucun type de sexualité et m'interdit de poursuivre la société éditrice de toute action judiciaire.
- consulter ce serveur à titre personnel sans impliquer de quelque manière que ce soit une société privée ou un organisme public.
Je m'engage sur l'honneur à :
- ne pas faire état de l'existence de ce serveur et à ne pas en diffuser le contenu à des mineurs.
- utiliser tous les moyens permettant d'empêcher l'accès de ce serveur à tout mineur.
- assumer ma responsabilité, si un mineur accède à ce serveur à cause de négligences de ma part : absence de protection de l'ordinateur personnel, absence de logiciel de censure, divulgation ou perte du mot de passe de sécurité.
- assumer ma responsabilité si une ou plusieurs de mes présentes déclarations sont inexactes.
- j’ai lu, compris et accepte sans réserve les conditions générales rédigées en français même si j’ai usage d’un traducteur automatique ou non pour accéder à ce site internet.
Toutes les images contenues dans ce site sont en accord avec la loi Française sur la pornographie (aucune image de mineur n'est présente sur ce site)